Et les vagues soupiraient , impuissantes lorsque le rivage les avait dévorées. Les nuages qui ornaient le ciel, si sombres , mais majestueux Chaque pierre , chaque tige faisaient partie d'une image. Ensemble , ils se tissaient sur le spectateur qui contemplait la nature , essayant de la comprendre. Mais cette image différait pour chaque regard , pourtant elle restait la même. Ensorcelé par le parfum d'une rose fanée dont le parfum envoûtant demeurait présent que cela plaisait ou agressait mon esprit. La rose flétrie reflètait mon âme , le déclin que nous appelons la fin , ne pouvait faire disparaître l'amour , ni la douleur. Ce n'est que la couverture des âmes perdues . Peu importe la forme , les sentiments restent constants . Bien que parfois ce ne sont que les souvenirs , souvent éternels de l'être que l'on aime.Mais le véritable chagrin n'est pas l'abandon , c'est que les souvenirs tombent aussi en morceaux.